Victime du pervers d'internet Toulousain, Stéphanie nous explique tout...

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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“Je me sentais sale, j’avais honte et j’avais peur qu’il revienne”. Difficile encore aujourd’hui pour Stéphanie(*) de tourner la page, d’envisager l’avenir avec confiance. Même si la condamnation récente de son agresseur, confie-t-elle, et incidemment le fait d’être reconnu comme coupable, lui permet d’avancer. Elle gardera toujours ce goût amer d’avoir été aussi naïve, de penser que “ça n’arrive qu’aux autres”.


Hiver 2015. Stéphanie, comme toutes les ados de son âge, est une consommatrice acharnée d’Internet, constamment branchée sur les réseaux sociaux. Ses parents doivent pousser des coudes pour accéder à leur tour à l’ordinateur et jeter, de temps à autre, un coup d’œil à l’historique des sites consultés. Également lui faire de temps à autre des piqûres de rappel sur les dangers d’Internet. Conseils que Julie balaie d’un revers de manche, convaincue, reconnaît-elle, de maîtriser. Jusqu’à ce jour…

“J’ai reçu un message d’un inconnu dont le nom ressemblait à l’une de mes connaissances. Il me demandait s’il pouvait faire partie de mes amis. Intriguée, je suis entrée en contact avec ce compte "NOUVELLE COUPE". Le piège se referme.

Au fil des échanges, son “nouvel ami” qui dit avoir 26 ans, lui évoque son passé de photographe, puis l’informe de son envie de refaire des clichés. Julie est jolie, elle ne peut qu’être flattée par la proposition. Pour finir de la convaincre, il lui envoie un mail avec un lien vers son book. Il finit par emporter sa conviction.

Rapidement les photos coquines s’effacent au profit de clichés pornographiques. Sourd aux supplications, l’homme va s’arrêter brutalement dans son entreprise d’une relation sexuelle quand Stéphanie éclate en sanglots. Il l’accuse de lui avoir fait perdre ses moyens, s’enfuit, avant de lui rappeler qu’il détient des photos très compromettantes. Autrement dit, il lui signifie que porter plainte serait malvenu.

Cependant, l'homme est identifié, il s'agirait d'un jeune homme Toulousain, résident a Belfontaine, agée de 24ans. Moha Sliice, dit Stanja, n'en est pas a son coup d’essai. il avait été jugé coupable d'un harcèlement sexuel en date du 14 Mai 2014. Le jeune homme a été déféré au parquet de Toulouse, qui doit surseoir a statuer dans les prochaines semaines.

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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