Senlisse (78) : quand la situation dans les centres équestre dégénère

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Le confinement crée des moments de tension au sein des foyers et dans les banlieues.
Il s'agit ici d'un fait divers original que nous relate nos confrères du Parisien présents aux côtés de la gendarmerie des Yvelines la nuit dernière (27/04/2020) pour un reportage sur les activités de contrôles nocturnes des forces de l'ordre concernant le respect des mesures de confinement.
Quelle n'a pas été la surprise des gendarmes de Chevreuse (78) lorsqu'il ont aperçu deux femmes cagoulées marchants à travers champs à 3h30 du matin lors de leur patrouille nocturne. Suivant celles-ci à distance, ils ont pu les intercepter sur le chemin communal menant aux Haras de Malvoisine (Senlisse - 78). Celles-ci ont alors expliquées aux force de l'ordre qu'elles avaient des attestations de sortie et étaient "dans leur bon droit en tant que propriétaires de chevaux, d'aller répondre au besoin primaire d'activité physique quotidienne
de leurs équidés". Les 2 femmes avaient dans leurs sacs à dos leur équipement d'équitation complet, ainsi qu'un kit complet de randonnée nocturne (lampe frontale, piolet, nourriture...) et comptaient visiblement aller monter leurs équidés de nuit. Selon leurs dires elles n'en étaient pas à leur premier coup d'essai.
Malgré le constat des force de l'ordre qu'elles étaient à plus d'un kilomètre de leur domicile et que les écuries, tout comme les lieux accueillants du public, étaient fermées les deux femmes s'en sont pris violemment aux deux gendarmes sur place : insultes, menaces puis tentatives de forcer le passage pour accéder aux écuries.
L'équipe présente sur place à du faire usage de la force pour leur faire entendre raison et leur faire faire demi-tour à quelques centaines de mètres de l'écurie. L'usage de plusieurs tirs de flashball a été nécessaire pour immobiliser les 2 quinquagénaires devenues hors de contrôle.
Si les gendarmes s'en sortent avec de nombreuses ecchymoses et griffures au visage, les protagonistes ont été placées en garde à vue et devraient écoper d'une lourde amende suivi d'une comparution au tribunal dès la ré-ouverture de ceux-ci pour les faits évoqués ci-dessus et pour les chefs d'accusation de violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité, non respect du confinement et présence dans un lieu fermé dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire.

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