Hausse de la prostitution féline à Montréal-Nord.
Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.
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Dans le but de subvenir à leurs besoins en bonbons toujours grandissant, de nombreux félins Montréal-Doriens se tournent de plus en plus vers la prostitution. Connu depuis peu, le phénomène des "Candysluts" a pris de l'ampleur suite à la hausse du coût de la vie et de la négligence de certains propriétaires d'animaux.
Lors d'une entrevue accordée au Journal de Montréal dimanche après-midi, Flippy, chat de 12 ans, a affirmé être pris dans l'enfer de la prostitution depuis la crise financière de 2008, année à laquelle la caisse de dépôt et de placement a perdu 40 milliards dans l'aventure du papier commercial, durant le règne libéral de Jean Charest.
Les larmes aux yeux, le félin blanc et gris a déploré au journal "qu'il est injuste que des félins sans défenses soient ainsi pris en otage par des maîtres sans scrupules qui profite de l'inflation et de la crise financière pour exiger de leurs chat des calins de nature sexuelle avant de les dédommager en bonbons une fois l'acte consommé".
Flippy souhaite ainsi conscientiser ses concitoyens en rendant publique le calvaire que lui et d'autres félins. Une campagne de financement a d'ailleurs été mise sur pied sur facebook dans le but de récolter des dons pour venir en aide aux félins plus démunis.
Lorsque rejoint par le journal, le propriétaire de Flippy aurait affirmé que le phénomène des candysluts "n'était pas son problème", et aurait crissé son camp devant l'insistance de notre journaliste.
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