Gilets jaunes : interpellation du principal casseur de l'Arc de Triomphe
Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.
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Triste affaire après les événements de samedi dernier sur la place de l’étoile avec l’arrestation du principal responsable des dégradations sur l’arc de Triomphe et notamment les graphitis « RLink » au marqueur noir sur ce monument emblématique de la nation Française.
Ce trentenaire issu du milieu radical Grenoblois, habitant depuis une dizaine d'année à Maison Laffite et apparemment sans histoires a été interpellé tôt ce matin sur son lieu de travail chez un célèbre constructeur automobile. Après une brève entrevue avec son avocat, il aurait déclaré aux enquêteurs de la brigade criminelle en charge de l'enquête que les nombreuses manifestations des gilets jaunes lui permettaient de décharger toute la frustation emmagasinée sur son projet de coeur dans le monde du travail : un célèbre outils de mise à jour des cartographies. L'expertise psychiatrique demandée par le parquet remonte des faits marquants : l'individu ne supporterait pas les temps d'attentes supérieurs à 2 minutes et tomberait subitement dans des accès de violences incontrôlables, de plus, demande particulière il aurait demandé à avoir dans sa cellule des livres saints en Portugais, Suédois et Danois.
L'interview par nos équipes d'une de ses collègues proche Eve T. , le décrit comme quelqu'un de fort sympathique au quotidien et de plutôt blagueur.
Il encourt 6 ans de prison et 40 000 euros d'amende pour trouble à l'ordre public, dégradation de monument historique. Le Portugal aurait refusé la demande d'extradition qu'il a formulé pour le 13 décembre 2018.
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