L'espionnage français au Québec

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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Où comment depuis des années, l'état Français, sous couvert d'aide à l'émigration, s'introduit dans les milieux industriels, politiques et financiers du Québec.
Le but, me direz-vous ? Répondre à l'injonction présidentielle de 1967 du général de Gaulle : Il faut reprendre le Québec aux anglais.
Depuis maintenant 50 ans, la France envoie ses "expats" au Québec avec une arrière pensée parfaitement stratégique. Profitant d'accords nombreux et privilégiés, la DGSE pilote des milliers d'acteurs sur le terrain de la Belle Province pour peser sur l'autonomie Québecoise. Le premier grand succès public est retentissant : la nationalisation du principal fournisseur d'électricité. Maxime Carillon, ancien d'EDF, expatrié au Canada en 1954 et principal conseiller stratégie économique de René Lévesque, puis de Jean Lesage, ouvre dans l'ombre et convainc les deux dirigeants à passer à l'action. Aujourd'hui, Bombardier se vend pour un dollar symbolique à Airbus, consortium européen qui dans les faits est basé en France près de Bordeaux. Sans l'appui d'un réseau parfaitement constitué depuis 50 ans, cette opération n'aurait ni pu avoir lieu, ni s'être passé aussi simplement. En apparence.
À cette heure, les espions français sont partout. Dans le numérique, dans l'industrie, le secteur minier et celui des énergies. Leurs sociétés, avec pignon sur rue investissent dans le transport et la santé. Seul le milieux éducatif semble résister à cette invasion, mais pour combien de temps encore. L'avenir, selon la France et la directive Gaulienne : que le Québec revienne dans le giron qu'elle n'aurait jamais du quitter.

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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